Le juge: Pouvez-vous nous expliquer votre après-midi du 1 avril 2012?
la vieille dame: J'étais tranquillement assise sous le porche de ma petite maison quand un jeune homme est venu pour me parler.
Le juge: Et il vous a importuné?
La vieille dame: Non! Mon mari est mort depuis une vingtaine d'années et depuis je me sens seule, alors ça m'a fait plaisir d'avoir un peu de compagnie.
Le juge: Bon! Que s'est-il passé ensuite?
La vieille femme: Il a conversé quelques instants avec moi et il a posé sa main sur mon épaule.
Le juge: Et ça vous a surpris? Alors vous vous êtes défendue?
La vieille femme: Pas du tout! Je l'ai pris comme un geste amical, comme l'aurait fait un enfant avec sa mamie.
Le juge: Continuez.
La vieille femme: Nous avons continué de discuter et il a descend sa main sur mon sein.
Le juge: Vous ne l'avez pas laisser faire?
La vieille femme: bah comme je vous l'ai déjà dit, ça fait plus de vingt ans que je suis veuve et ça faisait belle lurette que personne ne m'avait touché, alors je l'ai laisser faire.
Le juge: Ensuite?
La vieille femme: Bah comme ce jeune homme était plutôt séduisant et que je ne disait rien, il en a profité pour mettre sa deuxième main sous ma jupe.
Le juge: Et c'est là que vous avez protesté?
La vieille femme: Certainement pas! Ca faisait trop longtemps qu'un homme ne m'avait pas fait ressentir ce sentiment de bonheur, j'ai même eu l'impression de retrouver mes vingt an! Alors je lui ai proposé qu'on aille dans ma chambre.
Le juge: Il a accepté?
La vieille femme: Il m'a regardé droit dans les yeux, c'est mit à sourire, m'a dit poisson d'avril et à commencé à s'en aller.
Le juge: Et c'est tout! Juste ça? Qu'avez-vous fait ensuite?
La vieille femme: Alors c'est à ce moment là que j'ai attrapé mon fusil pour le tuer ce petit enculé.