texte repris sur Armes Tireurs Bel ,Eurofox , comme l' auteur en fin de msg donne la permission d' utiliser son texte , et que perso je le trouve assez explicatif , bonne lecture .
En Suède les documents qui ont fuité du GENVAL ont déjà fait un véritable tollé. Le magazine de chasse suédois JAKTOJAGARE proteste vigoureusement : ça montre que les fonctionnaires suédois participant aux réunions de cet organisme ont poussé le bouchon au-delà du mandat de négociation qui a été confié par le parlement national au gouvernement.
Partagez donc cette information dans votre pays, informez la presse, contactez votre ministère et protestez ! Nous ne devrions jamais être traités de cette façon !
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firearms-united.com]
Voici les méthodes de travail du Conseil de l'Union européenne sur le dossier de l'interdiction des armes à feu !
Comme vous pouvez le savoir, le Parlement européen n’est pas la seule institution de l’UE où se décide le sort des détenteurs légaux d’armes dans le sillage des attaques injustifiées de la Commission européenne, non élue et de plus en plus autocratique à l’encontre de notre communauté parfaitement régulée.
L’autre est le Conseil de l’Union européenne, actuellement présidé par la Hollande, au sein duquel les gouvernements de tous les Etats membres sont représentés. Au sein de ce Conseil, il y a trois niveaux qui s’occupent de la révision de la directive armes à feu :
1. Le Groupe de travail sur les affaires générales et les évaluations (GENVAL) qui est composé d’experts du sujet en provenance de chaque Etat membre. C’est le lieu principal de la discussion;
2. Le niveau suivant est le Comité des représentants permanents (COREPER) qui est composé de diplomates du bureau permanent de chaque Etat membre à Bruxelles qui transmet la position de leur gouvernement respectif;
3. Le troisième et le niveau le plus élevé est le Conseil des ministres composé des ministres concernés de l’Intérieur et de la Justice, parfois même les premiers ministres qui sont les décideurs.
Actuellement la discussion sur la révision de la directive armes à feu est en panne au GENVAL. La présidence hollandaise semble enthousiaste à l’égard de la proposition draconienne de la Commission qui cherche à punir les détenteurs légaux d’armes en réponse aux attentats commis par des terroristes utilisant des armes illégales. La présidence souhaite réellement « améliorer » les propositions de la Commission, par exemple en interdisant les chargeurs dont elle considère qu’ils ont une capacité trop importante. Ils sont naturellement soutenus par ceux des Etats membres comme la France, l’Italie et la Belgique, où les droits des détenteurs d’armes respectueux de la loi ne sont pas vraiment respectés et par la Commission.
D’autre part, il y a une opposition farouche de plusieurs Etats membres qui ne sont pas prêts à abandonner les libertés de leurs citoyens pour faire Plaisir à la Commission et lui permettre d’atteindre ses objectifs. Ceci place la présidence hollandaise dans une situation inconfortable puisque la proposition présentée au nom du Conseil doit être approuvée par le GENVAL à l’unanimité ou avec une très large majorité. Il est hautement improbable que la présidence hollandaise puisse atteindre cet objectif avant la fin de son mandat le 27 juin, particulièrement tant qu’elle persistera à énoncer des propositions du genre : « Il faut absolument interdire quelque chose dans le domaine des armes semi-automatiques ».
En conséquence, sous la pression de la Commission, la présidence a eu recours à la présentation au Conseil des ministres de questions du GENVAL dans le genre : « Pensez-vous que les armes semi-automatiques doivent être interdites ou préférez-vous qu’elles soient sévèrement restreintes ? » De plus, plusieurs experts qui assistent aux réunions du GENVAL se plaignent que les objections qu’ils soulèvent sur des aspects techniques soient balayées avec des commentaires du genre « ça ne peut pas marcher » ou « ça pourrait provoquer de gros problèmes de sécurité ». Dans plusieurs cas, leurs objections justifiées n’ont pas même été prises en considération voire tout simplement pas enregistrées.
Confrontée à l’opposition de plusieurs Etats membres et son incapacité à en venir à bout pendant son mandat, la présidence a maintenant recours à un autre tactique : elle veut que le COREPER rédige la proposition au Conseil à la place du GENVAL, court-circuitant ainsi toute discussion ultérieure entre des experts qui sont capables d’identifier les problèmes et de les résoudre principalement parce que ce seront eux qui auront à affronter la tempête si une législation insensée devait être transposée en droit national et si cette mise en œuvre devenait une tâche insurmontable. Si la présidence réussissait dans ses nouveaux efforts, la version finale de la proposition serait ainsi laissée entre les mains de diplomates qui ne détiennent aucune connaissance technique mais sont très versés dans l’art du compromis.
On peut penser que les objectifs de la présidence comporte un bon nombre de très sérieuses propositions dont :
• L’interdiction des armes de poing capables de tirer plus de 21 cartouches sans rechargement;
• L’interdiction des carabines capables de tirer plus de 11 coups sans rechargement;
• L’interdiction des armes d’épaule dont la longueur peut être réduite, grâce à une crosse pliante télescopique ou facilement démontable à une longueur inférieure à 60 cm;
• Une limitation sur les motifs pour lesquels des autorisations de catégorie A peuvent être délivrées;
• Une interdiction pour les collectionneurs d’acquérir et détenir des armes de catégorie A, même historiques et conservées dans des conditions strictes.
Sur la base d’expériences précédentes, on peut s’attendre à ce que le problème soit présenté au moyen de questions du genre « Préférez-vous retreindre la capacité des chargeurs à 5 ou à 10 coups ? »
Les fonctionnaires de l’UE savent, tout autant que nous, que ces restrictions déplacées sur la détention légale d’armes enregistrées n’apporteront aucune amélioration de la sécurité des citoyens européens. Le seul objectif de ces propositions de la Commission consiste à montrer aux citoyens de l’UE qu’elle est apte à prendre des décisions pour camoufler l’ineptie de son retard à mettre en place des normes de neutralisation pendant sept ans, échouant ainsi à combler un sérieux vide juridique dont les terroristes ont bénéficié pour acquérir les armes utilisées dans le massacre de Charlie Hebdo et les autres attentats.
En tant que détenteur légal d’armes il est de votre devoir et de votre responsabilité de contacter d’urgence votre ministre de l’Intérieur pour lui demander respectueusement de bien vouloir donner des instructions à leur Représentant permanent à Bruxelles de résister à toute tentative antidémocratique de porter atteinte aux droits des citoyens dignes de confiance. Vous pouvez utiliser ce texte comme base de votre message.
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Club : AOC & CTF
Belges réveillons nous , l ennemi est a nos portes , et nous dormons ! mieux vaut mourir debout que vivre a genoux localisation : Belgique ,la Louvière, démocratie moribonde
Que les puces d'un millier de chiens galeux infestent le cul de ceux qui vous gâcheront une seule seconde de votre vie !
et que les bras de ces abrutis deviennent trop courts pour qu'ils puissent jamais se le gratter.